Clinical Legal Education: A Student Perspective

Abstract

Fiscal restraint has forced many law schools to reconsider funding clinical education programs. Using the Dalhousie Legal Aid Service (DLAS) as an example, the educational effectiveness of clinical legal education is examined. Clinical education provides a context in which students can learn and apply the traditional law school curriculum. There is a danger, however, that clinical education will focus on technical skills without honing analytical skills such as ends-means analysis. The supervisor plays a crucial role in structuring the clinical experience into an educational one, from which students develop approaches to solving legal problems in practice. If the pitfalls are avoided, clinical education can be invaluable to the student and can enhance traditional programs. Although there are weaknesses in DLAS's program, its educational value warrants its continued existence. *** La contrainte fiscale a imposé à de nombreuses facultés de droit une reconsidération de la question des fonds donnés au programme d'éducation clinique. En se servant de l'exemple de "Dalhousie Legal Aid Service" (DLAS), l'efficacité pédagogique de l'éducation clinique légale est examinée. L'éducation clinique procure aux étudiants un contexte où ils peuvent apprendre et appliquer le curriculum scolaire traditionnel en droit. Il existe, toutefois, un danger que l'éducation clinique se concentre sur des aptitudes techniques sans aiguiser les aptitudes analytiques telle l'analyse "fins et moyens". Le surveillant joue un rôle crucial, à savoir, structurer l'expérience clinique pour qu'elle soit une expérience éducative, d'où les étudiants développent des approches à la résolution de problèmes légaux à travers la pratique. Si les pièges sont évités, l'éducation clinique peut fournir des avantages inestimables pour l'étudiant, et peut même rehausser des programmes traditionnels. Bien que le programme DLAS ait des points faibles, sa valeur pédagogique justifie sa continuation.